Non lieu pour 24 des responsables épinglés par le Rapport de la Cour des Comptes ...Noms

Non lieu pour 24 des responsables épinglés par le Rapport de la Cour des Comptes ...Noms

Le parquet général de Nouakchott Ouest a décidé, dans un communiqué publié hier mardi, de classer sans suite l’action publique contre 24 des personnes citées dans le rapport de la Cour des comptes, et de poursuivre les autres personnes dont les noms figurent dans le procès-verbal, en raison de motifs légaux justifiant cette décision.

Voici le texte du communiqué dont l’Agence Mauritanienne d’Information a reçu une copie :

“Après réception par le parquet du rapport établi par la Cour des comptes, et sa transmission, conformément aux procédures légales, à la Direction de lutte contre la criminalité économique et financière, pour examen de ses dispositions, un procès-verbal d’enquête préliminaire a été établi et transmis au parquet, avec les personnes concernées.

Après la comparution de toutes les personnes concernées devant le parquet et leur audition individuelle, ainsi que leur confrontation avec leurs déclarations figurant dans le procès-verbal de la police judiciaire,

Il a été décidé ce qui suit :

Premièrement: Classer sans suite l’action publique contre:

1 – Mohamed Lemine El Mostapha,

2 – Mohamed Yahya Ahmed Zerroug,

3 – Ahmed Salem Ould Bouhedde,

4 – Mostapha Bechir,

5 – Abdi Salem Cheikh Saad Bouh,

6 – Cheibetta Habib Sidi,

7 – Amara Cheikhou Soumare,

8 – Ahmed Miske Abderrahim,

9 – Hamoudi Mohamed Sidi,

10 – Abay Mâyif,

11 – Sadfi Sidi Mohamed,

12 – Mohamed Cheikh Zarroug,

13 – Diallo Daouda Samba,

14 – Mokhtar Ahmed Mohamed Elyedali,

15 – Abdelkader Mohamed Souleymane,

16 – Mahamadou Youssouf Diagana,

17 – Mohamed El Hafedh Mohamed Lemine Babah,

18 – Cheikh Abdellahi Bedde,

19 – Mohamed El Khalifa Beyyah,

20 – Mohamed Salek Hmeyde,

21 – Tourad Abdelbaki,

22 – Cheikh Mohamed El Hafedh Taleb,

23 – Mouhiddine Sidi Baba,

24 – Mohamed Vall Dekèh.

Et ce, pour insuffisance de preuves.

Deuxièmement: Poursuivre les autres personnes dont les noms figurent dans le procès-verbal, car il existe des motifs légaux justifiant cela”.

Le Parquet général

mer, 10/12/2025 - 11:28

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