Vendredi, l'armée malienne a assuré qu'une opération de son avviation avait permis de tuer 57 jihadistes, reconnaissant toutefois avoir perdu huit soldats dans l'intervention, dans la région limitrophe avec le Burkina Faso et le Niger.
La France se retirera «en bon ordre» et ne transigera pas une seconde sur la sécurité de ses soldats, a répondu le Président français Emmanuel Macron, en réaction, la demande exprimée quelques heures auparavant, appelant Paris à retirer "sans délai" ses troupes.
Le porte-parole du gouvernement installé par les militaires a déclaré que les résultats de neuf ans d'engagement français au Mali «n'ont pas été satisfaisants». Ce à quoi Emmanuel Macron a réagi, affirmant que la France se retirera «en bon ordre» et ne transigera pas une seconde sur la sécurité de ses soldats.
Le Président d Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, a tenu ce vendredi 18 février courant, en compagnie de son homologue nigérien Mohamed Bazoum, au siège du Conseil européen à Bruxelles, une séance de travail avec le Chancelier allemand, M. Olaf Scholz.
Après neuf ans de présence militaire au Mali, la France a décidé de retirer ses trois bases dans ce pays, suivant un processus organisé et coordonné avec l'armée malienne et les Nations unies, selon le président français Emmanuel Macron.
Plus d’infos dans l’élément audio suivant réalisé par Essahraa_Plus
La police nationale a arrêté hier jeudi dans la soirée, un jeune homme accusé d'avoir tué son collègue au marché de téléphonie mobile et accessoires « Points Chauds », à Nouakchott.
La nouvelle a été annoncée par la sureté dans un communiqué publié ce vendredi 18 février courant.
L’État-major général des Armées a formellement démenti, dans un communiqué publié ce jeudi, les récentes rumeurs, faisant état d'un présumé réengagement de personnels militaires révoqués.
Le Président Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani a présidé jeudi 17 février courant, dans la capitale belge Bruxelles, en compagnie de son homologue ghanéen et du Premier ministre espagnol, la table ronde consacrée à la bonne gouvernance, la paix et la sécurité.
Un jeune mauritanien a été tué le jeudi 17 février courant, à la suite d’une bagarre l’opposant à son collègue, sur un montant dérisoire de 10 000 ouguiyas anciennes, dans le marché populairement connu sous le nom de "Point chaud" de vente de téléphonie mobiles et accessoires.