
Le ciel de N’Beika a été plus que généreux, faisant tomber des trombes d’eau sur la ville, ses maisons, ses ruelles, ses monts à droite, ses dunes à gauche et ses vallées.
Les habitants de la ville se sont trouvés contraints devant ce péril céleste qui s’accentue au fur et à mesure, de fuir les eaux déferlantes de tout part.